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Devant les drames qui se jouent, Crichton est un peu à court de réparties.

Tout au plus trouve-t-il le moyen de se plaindre de "cette tronche de cuir de sado-maso de Scorpy" qu'il a dans le crâne, de s'adresser à Stark en l'appelant Scoubidou ou d'interpeler Borlik à sa façon Hé, le magnet ! J'ai un frigo que tu devrais adorer."

Quant à Aeryn, il met un peu de temps à percuter et comprendre ce que signifient ses allusions de pacificateur sur-entraîné. Quand elle lui parle de réduire les fluides (une autre façon d'aborder la sexualité), lui pense aussi sec aux bagnoles et demande "les niveaux des fluides de quel ordre ? des systèmes hydrauliques ? des circuits de frein ?". A sa proposition plus explicite, il rétorque sybillin : "Tu sais... moi... j'ai deux mains. Je réduis tant que je veux les tensions."

Ok ! S'il pense pouvoir s'en tirer tout seul...