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Un épisode sombre. Un de plus. Pas de politiquement correct pour Farscape, la décision est prise et respectée.

Crichton ne cède toujours pas, il résiste de toutes ses forces mais s'effondre quand même petit à petit. Témoin ce moment chargé d'émotion où il plaque sa main contre l'écran qui lui permet de communiquer avec Gilina. Peut être parce que c'est la seule caméra qu'il peut arrêter, peut être pour signaler la fin de la transmission mais surtout comme un dernier contact tellement nécessaire. Mais Gilina n'apposera pas sa main de l'autre côté de l'écran comme on le fait sur une vitre, elle va simplement éteindre l'écran.

Toujours dans ces tons obscurs, la violence est très présente dans l'épisode. On a droit à la torture, au désespoir, à la trahison, au sacrifice et à la vengeance, le tout dans l'atmosphère moyenâgeuse de la base Gammak. Et bien entendu, la mort suit sous les traits de Sorpius.

La mort d'un côté, la vie de l'autre et le cycle est respecté. Cependant ce n'est pas une naissance sans problème qui est inscrite au programme. Le bébé de Moya n'est pas normal. Il n'est pas encore né que déjà la situation se complique. Décidément il n'y aura pas de repos pour les guerriers !

 

Le voleur de mémoire


La traduction de "The hidden memory " aurait du être "La mémoire cachée" mais "Le voleur de mémoire" n'est pas mauvais comme titre. Une différence cependant ; "The hidden memory" fait référence à la mémoire même et met l'accent sur des souvenirs précis alors que "Le voleur de mémoire" attire l'attention sur Scorpius.