Quelques commentaires cools ;

 D'Argo à Aeryn : "Il n'y a pas de raison que tu sois la seule à faire des choses insensées !"
 Crais à Scorpius : Crais :"Aucun capitaine n'a jamais subit une telle ignominie" Scorpius : "Il faut bien une première fois"
 Pilot, accablé : "Son enfant a une constitution étrange, ce n'est pas un Leviathan normal !"
 Rygel inquiet en parlant du bébé de Moya : "Qui le contrôlera Moya ou les Pacificateurs ?"

On nous apprend que :

 Les Luxans ont été en guerre contre une race nommée les "Teloks" qu'ils ont gagné grâce à leurs épées Qalta. Ces épées restent symboliques pour les guerriers Luxans.

Symbolique :

 Les pensées éblouissantes et blanches de Stark. Rien qu'à voir l'éclat de ses pensées on sait tout de suite que celles-ci sont "bonnes" si pas pures. Nous allions automatiquement bien qu'inconsciemment l'éclat lumineux et blanc avec le positif. Si des éclairs rouges avaient été choisis nous aurions probablement pensé "danger", une espèce de mousse verdâtre ne nous aurait pas non plus rassuré…
 Les Baniks de Farscape sont bienveillants. Mais dans la mythologie russe, un "Bannik" est un esprit des bains [1] [2] Et ces esprits des bains sont assez méchants, il vaut mieux ne pas les déranger.
 "Stark" n'est pas un nom pris au hasard. En anglais "stark" qui signifie "rigide" est fréquemment utilisé dans l'expression "Stark Madness soit Folie Absolue". [3] Le sous-entendu est très clair et souvent utilisé, par exemple dans la série TV "Stark Raving Mad" [4] dont le personnage principal, Ian Stark, est à la fois morbide et bizarre ou pour les bédéphiles, comme le Capitaine Stark, "Tunique Bleu" obsédé et cinglé. [5]
 L'enfant de Moya pourrait représenter le danger des manipulations génétiques. En effet les deux hybrides, lui et Scorpius, sont considérées comme des menaces.

Clins d'oeil :

 Un fil conducteur visuel quasi-inconscient : "le cercle". Cet épisode est très chargé que ce soit en émotion ou en action. Un des "trucs" utilisés par certains metteurs en scène dans ce cas est la répétition d'un élément visuel qui agit comme un fil conducteur inconscient (qui aide le spectateur à relier le tout). Sur les images ci-dessous on peut voir ce cercle utilisé aussi bien pour les décors de couloirs ou d'accès sur la Base Gammak que pour les caissons de Moya ou encore, comme représentation de l'armement du bébé, de la mémoire de Crichton ou du cadre de l'écran de la "Chaise Aurora"

Ca vaut le détour... :

 Excellent : Les interprétations d'un Crichton à bout de force et d'un Crais déchainé
 Toujours et encore les costumiers : Le casque de Stark est tout simplement parfait.,
 Hip hip hip pour les "designers" : Garder la forme en modifiant la texture donne un très beau résultat. Le bébé de Moya est à la fois stylé et menaçant.
 Un plus : Les lyriques lors des scènes entre Aeryn et Crais, qui soulignent le côté dramatique tout en restant à l'arrière plan..

Peu probable :

 On aurait du nommer la base : "Le moulin Gammak" car on y entre vraiment comme dans un moulin, que ce soit en surface (D'Argo ,Zhaan,...) ou à l'intérieur (Aeryn) et on en sort encore plus facilement que ce soit par une issue (Stark) ou une autre (Crichton)
 Gilina fait référence à "dix jours solaires", ça sonne bien mais c'est inutile un jour c'est solaire (il n'y a pas encore de jour lunaire ou astral). On pourrait penser que les Pacificateurs vivant sur des stations (ou des vaisseaux) ont un système de durée d'un "jour" différent mais dans ce cas Gilina aurait du donner une planète de référence (chaque planète à une durée de révolution différente même dans les "Uncharted Territories").
 Zhaan attend d'être aux abords de la base pour renforcer ses explosifs (qui servent peu) ? !

Pendant ce temps chez les voisins... :

 Stargate, "Out of mind" (2x22), pour les appareils qui permettent de visualiser sur écran des épisodes de la mémoire d'autrui.
 Stargate, "Divide and conquer" (4x05), encore pour les machines qui détectent si on leur cache des informations mais ne peuvent pas être plus précises
 "Saving Private Ryan" (1998), de Steven Spielberg, pour la main qui tremble.