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Quelques commentaires cool



-  John, "Ok,Frankenstein ! Vire ton matos de mon cerveau !"
-  Aeryn, résumant la pensée de tous "Tu es lamentable, Zelkin. Pire, tu es idiot."
-  Stark à Rorf qui lui demande s'il est prêt à se battre "Bien sûr ! Sans les mains !"
-  John, en réponse à Scorpius, gêné dans ses manipulations "Difficile de ne pas bouger quand Frau Blücher [1] te chatouille la prostate !"
-  Rygel, très fier de son trophée "C'est un vieil ennemi ; j'apprécie qu'il ne réponde plus"

 

On apprend que



-  de la couleur des yeux dépend leur goût [2]
-  le sérum takaar est un poison
-  Jothee ne connait pas grand chose de la culture luxane ; l'âme de guerrier, le sens de l'honneur, la fierté de ses origines, l'esprit d'entraide lui sont inconnus

 

Ca vaut le détour



-  terrifiant : Rygel avec son incroyable trophée
-  piquant : le retour de Crais en moralisateur et héros malgré lui. Sa leçon de morale à Aeryn sur le bon usage de la force ne manque pas d'humour.
-  fascinant : l'attirance de Natira pour les yeux. A nous d'imaginer ce qu'elle en fait si on a le coeur bien accroché
-  émouvant : le premier vrai dialogue entre D'Argo et son fils
-  hallucinant : l'usage du clone par Crichton pour convaincre Natira

 

Pendant ce temps chez les voisins



-  on est parfois torturé, debout ou allongé ; arc-bouté façon Farscape, jamais.
-  on sait depuis longtemps que celui qui a le contrôle des vortex a le pouvoir. La station DS9, située près du vortex reliant les quadrants delta et gamma en est le parfait exemple et l'objet de bien des convoitises. Dans le rôle de l'illuminé de service, le commandant Benjamin Sisko, Gul Dukat, commandant cardassien, en avatar décoloré de Scorpius et enfin, en lieu et place des méchants scarrans, les transmutables et leurs alliés jemadars.
-  la sphère, forme parfaite et inquiétante, apparait dans Le Prisonnier où elle est utilisée ausi bien pour dissuader les fuyards en puissance que les rattraper le cas échéant.

[1] référence à Frankenstein Junior (Young Frankenstein), film culte de Mel Brooks sorti en France en 1975

[2] à réserver aux fins gourmets