L'épisode s'ouvre sur une scène des plus étranges : John joue aux échecs et parle à Scorpius qu'il est le seul à voir. Aeryn et le reste de l'équipage comprennent de plus en plus mal ce comportement et se demandent s'il ne va pas "péter un plomb" (enfin, on en a un peu l'habitude). Bref, les visions de Scorpius ne font rien pour arranger sa douce folie qui n'attendait qu'une étincelle pour éclater au grand jour.

Ensuite nous le retrouvons dans les couloirs de Moya dans lesquelles il improvise une partie de golf tout en chantant ... la terre lui manquerait-elle à ce point ?

Heureusement, l'arrivée inopinée d'un étranger sur le vaisseau va lui permettre de ce défouler un peu. En effet, le Vorc est particulièrement difficile à comprendre, à attraper, et ses courses et recherches répétées sur Moya entraînent John dans un combat contre Aeryn ou sa raison juste et inégale de la justice (il est méchant forcément (le vorc), il faut le tuer ou l'utiliser s'il peut servir à quelque chose !) choqueront toujours l'âme bienveillante de Crichton.

Mais pendant ses poursuites, John est toujours en proie à des visions de Scorpius. Tirant dans ce qu'elle croit le vide, Aeryn commence à émettre de sérieux doutes sur les réactions de John.

Afin d'ouvrir une porte de Moya, John lance "Sésame, ouvre-toi" espérant ainsi sans aucun doute trouver la vérité et le secret sur le virus qui se cache.

Que donnerait-il pour connaitre la solution sur le mystère du Vorc (ben ouais, il se vomit quand même pour devenir un monstre) : " Pour 10 000 dollars et une croisière aux Caraïbes !" clame-t-il à Aeryn.

Après avoir donné des germes traducteurs au Vorc, John reste persuadé que la vérité est là et que le Vorc est innocent (et qu'il comprend tout maintenant !). C'est loin d'être le cas d'Aeryn qui est prête à le mettre en bouillie... Parlant ainsi d'assassinat devant ce pauvre être sans défense, John lui demande de s'excuser : "C'était vraiment salaud de ta part, Lassie essaie de parler !"

Devant la bête, John dit "Parle, profanateur de sépultures" ==> cette phrase fait référence au film américain des années 50, L'invasion des profanateurs de sépultures, dans lequel des clones humains naissaient dans des haricots géants ! Parallèle évident avec le double de Rygel et son vrai corps conservé dans un cocon.