Commencement : John est encore en plein bidouillage avec d'Argo. Y'a de la bagarre dans l'air !

Chiana est persuadée que le tableau fait des prédictions. John : "Ma tante préfère le marc de café".

Voici une petite méthode crichtonienne pour éloigner les problèmes : "On ferme tous les accès à Moya. On laisse personne entrer ni sortir. Comme ça, pas de monstres, ni de bestioles mutantes, ni du virus attaquants le cerveau, ni d'objets bizarroïdes".

Bagarres interminables entre Aeryn et John et le reste de l'équipe. Elle mettrait tout le monde dehors pour son bien être, une idée qui va l'encontre des idées de Crichton. Pour lui, même Rygel est précieux.

"Je suis pas branché Art, mais je sais ce que je n'aime pas !"

Découvrant la prédiction de sa mort, John dit : "Batteur sur la touche, génial..."

S'adressant à Maldis qui se cache : "Relis le manuel du parfait méchant. Là t'es censé jubiler en tortillant ta moustache !" Hummm, encore un stéréotype terrien ?

Puis il apparaît, enfin ! "Hey, le vieux ? T'es pâlichon, tu ne bronzes pas ?"==> l'ironie il connaît par coeur, il la manie d'une langue bien pendue !

Maldis lui fait son petit discours sur la peur et la force qu'elle lui procure (il est vernie avec Chiana). John enchaîne sans même lui laisser le mot de la fin "C'est ça, chantes-moi les chansons de La mélodie du bonheur, j'adore"

A Chiana, se demandant qu'elle est cet être il dit : "C'est Maldis, du genre vampire maléfique". Pour d'Argo, il pompe l'air vitale d'une personne mais pour John "il pompe l'air tout court".

Aux menaces de Maldis sur la planète Terre, source d'esprit inépuisable : "Touches pas à ma Terre !" réponds John.

Une fois n'est pas coutume, final sur les confidences de Zhaan à John.