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Quelques commentaires cools ;


-  Crichton à Chiana, espérant sans doute être rassurant : "Ca va bien se passer, Pilot est sur le coup »
-  Crichton et Chiana : Crichton :" Vous serez ravies de savoir qu'on a un plan " Chiana pas impressionnée du tout : « On sera ravie de savoir s'il fonctionne »
-  Rygel à Crichton : " Toi t'es encore plus débile que d'habitude mais t'es plus chou »
-  Rygel et Crichton, encore : Crichton : " Il faut que je file avant de finir comme toi ! » Rygel : « Un être séduisant aux grandes prouesses sexuelles ? »
-  Aeryn, sidérante : "Il se passe quelque chose ?." [euh en fait oui, mais depuis le début de l'épisode, ndr]
-  Zhaan, lucide : "Rien de tel que le goût de la mort pour affiner le palais"
-  Rygel, malicieux : "Devrais-je me dévêtir, ce serait mémorable"
-  Pilot à Chiana, excédé et acide : « Dés que le moment idéal se présentera, nous autoriserons volontiers ton départ »

 

On nous apprend que :


-  Bien que Zhaan ait abandonné la prêtrise en pratique, elle ne l'a pas abandonnée « dans son âme ».
-  Les Nebaris sont spécialistes en armement

 

Clins d'oeil :


-  D'Argo compte : « Un, Deux, Feu ! » alors que Crichton attendais le « Trois » : clin d'œil aux « Armes Fatales » où le duo Glover/Gibson a souvent cet échange.
-  Crichto trouve un Tshirt pour se bander les yeux, dommage qu'il n'ait pas pris celui qu'il portait

 

Ca vaut le détour... :


-  Hilarant : D'Argo égrainant les Mi-pi-pi-pi
-  Excellent : la synergie entre Chiana et Rygel au moment où ce dernier récite les vers
-  Bien choisi : Le style de transportation d'un univers à l'autre, je trouvais « l'effet aspiration » simple mais adapté
-  Hip pip pip pour la technique : La technique des modification de luminosité des décors : bien qu'elle soit employé dans de nombreux films [1], les changement de coloration des éclairages permettent de savoir exactement et rapidement dans quelle « Moya » nos héros se trouvent. De même l'utilisation des « ralentis » et divers autres trucages visuels donnent à l'épisode une dimension supplémentaire.
-  Elégante l'explication de la base du problème : « la lumières et le son sont disjoints au cœur des éléments de base ».
-  Ne manquer sous aucun prétexte : Les scènes de repas/festins, superbes.

 

Peu probable :


-  Lorsque Crichton entre enfin en communication avec « la créature Autre », celle-ci lui affirme d'abord qu'il n'y a pas de survie possible, message étrange après avoir tant essayé de prendre contact.
-  Crichton comprend que les « attaques » sont en réalité un essai de communication après avoir identifié trois nombres premiers : 3, 7 et 11. Mais lorsqu'on voit le gros plan sur les « 7 » coups de griffes, il y en a un huitième croisé. Il est vraiment très malin !
-  De plus, l'utilisation des nombres premiers comme moyen de provoquer la communication est très osée. Car même si leur découverte est très ancienne [2], ça implique que les « autres » ont une conception mathématique semblable à la nôtre. Etant donné leur différence, il y a peu de chance que ce soit le cas. Sans parler du fait que c'est leur premier contact avec des entités biologique de notre univers !
-  Crichton n'est pas très convaincant lors de ses duos avec Rygel dans la « Moya Jaune »
-  Il semble bizarre que les 4 « Moya » soient représentées au même titre. Logiquement soit elle est « complète » soit « divisée en 3 » mais pas les deux états en même temps.
-  Le casque d'Aeryn bloque les sons ambiants même lorsque celui-ci n'est pas ajusté sur son oreilles ! [3]
-  Toutes les instructions qu'Aeryn donne sont accompagnées d'un code de couleur. Mais comment être certain de ne pas se tromper dans ces environnements colorés ?

 

Pendant ce temps chez les voisins... :


-  Star Trek, The Next Génération, « Remember me » (4x04), pour la façon dont Moya « rétrécit » peu à peu.
-  Star Trek, The Next Génération, « Time Squared » (2x13), car la seule possibilité de survivre est d'avancer.
-  "Cube" (1997), de Vincenzo Natali, pour l'importance des nombres premiers.
-  "2001, A Space Odyssey" (1968), de Stanley Kubrick, pour la réunion secrète parfaitement captée par les intéressés et la réaction paniquée de Moya
-  « Enterprise », tous les épisodes incluant les problèmes de ligne du temps, pour les effets liés aux problèmes de perception visuelle, les mêmes effets sont utilisés afin de représenter la superposition de temps différents.
-  "Enter the dragon" (1973), de Robert Close, rien que pour les coups des griffes sur le torse de Bruce Lee

[1] notamment tous ceux concernant les sous-marins

[2] Euclide - 300 avant JC - démontrait déjà en que ceux-ci sont en nombre infinis

[3] Mais si regardez bien