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3.21 - DANS L'ANTRE DU LION (2)
Notes
22 décembre 2005
par Crais_Addict
Quelques commentaires cools
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Co-kura, ébahi : "Crichton, les équations coulent de vous comme d'une fontaine voltérane"
Scorpius, accompagnant Crichton dans le vortex : "Je ne me suis jamais senti aussi excité." -Crichton : "J't'en prie, Scorpius, n'essaie pas de me séduire."
Scorpius, qui a du mal à digérer la défaite : "Crichton. John Crichton. Des générations se souviendront de ce nom. Par votre faute, très prochainement, les scarrans nous détruiront."
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Crichton, faisant ses adieux : "Tu diras à Moya que je l'aime" - Pilote, ému "Elle t'aime aussi... tout autant que moi."
D'Argo, cachant son émotion : "On savait tous que le moment viendrait de se séparer." -Rygel, pas si sûr de lui : "Ne crois pas que tu vas me manquer. Ni vous non plus. Vous ne me manquerez pas... ou alors un tout petit peu."
On apprend que
le vaisseau-commandeur transporte 50 000 personnes (hommes, femmes, enfants) : souvenons-nous que les enfants sont enrôlés très jeunes par les pacificateurs
Rygel affirme connaitre le monstrueux pouvoir des vortex : première nouvelle !
Il faudrait 60 cycles à Scorpius pour atteindre la Terre sans utiliser de vortex
Ca vaut le détour
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séquence repos du guerrier : Crichton et Harvey jouent aux échecs,... non, aux dames... non, aux cartes...
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séquence compassion : Aeryn se portant au secours d'une toute jeune pacificatrice. Que de chemin parcouru !
séquence émotion : les adieux de Crais et Crichton. Une minute de plus et ils avaient la larme à l'oeil, j'en jurerais.
séquence "dans le fion" : triangulation Crais-Scorpius-Braca pour la scène d'adieux de Crais. On
s'en souviendra.
séquence "dans le fion" bis : Scorpius, le satanique, sur l'escalier monumental du Titanic galactique en perdition.
Pendant ce temps là chez les voisins
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On se renseigne ches les trekkers : si, si, j'vous jure, il vont vous expliquer, en long en large et au carré, comment on peut faire "scientifiquement-prouvé" sauter un vaisseau avec 50 000 personnes à son bord tout en permettant à la majorité de s'échapper avant le désastre et au capitaine du navire de prendre la pose façon hollywood star à la remise des Oscars après avoir échangé quelques gnons de ci et quelques considérations philosophiques de là avec le scélérat de service, j'ai nommé l'infâme John Crichton.