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2.01 - LA FIN D'UN MONDE
Crichtonismes
3

21 août 2003

par drdsee

John s'affaire à réveiller d'Argo toujours dans les pommes depuis sa perte de connaisance dans l'espace. "Allez Rocky, lève-toi !" C'est magique, d'Argo se réveille non sans secouer notre John ! Scènes fracassantes dès le départ commencant par un rêve et se terminant sur une empoignade entre Crichton et d'Argo.

Puis il dira au nouveau réveillé qu'Aeryn est partie faire les courses ! !

Aeryn arrive et John souligne avec humour le réveil du luxan : "Et regarde qui s'est réveillé de sa sieste ?"

Particularité de Ka d'Argo : il retient toujours de travers les expressions terriennes. Par exemple, au cours d'une explication sur sa supposée mort imminente : "Comme John l'a dit, je préfère finir par la beauté !" Heureusement que Crichton est là pour rectifier les fautes de language de notre ami.

Pour tromper l'ennui et l'attente du retour d'Aeryn, John et d'Argo jouent au célèbre jeu de mains Pierre-Papier-Ciseau. D'Argo a du mal à comprendre les règles du jeu puisque selon lui la pierre déchire le papier. Difficile de saisir la logique humaine... et John !

Aeryn de retour, John veut comprendre ses agissements et ses cachotteries. Pour cela, il tente de lui prouver leur confiance mutuelle suite au nombre incalculable de fois où ils se sont sauvé la vie et lui demande "combien de fois ils ont a été proches". Cette question propulse Aeryn dans la confusion qui répond "Une fois !". John, gêné devant son ami, lui dit d'une voix cachée par la main "non, pas dans ce sens !"

Après que d'Argo ait utilisé son célèbre coup de langue pour assommer Aeryn, John lui retire son arme et déclare "Aeryn sera furax après cela".

Toujours dans un élan de férocité, d'Argo déclare vouloir allez pêter la gueule à Crais. John lui répond alors "tu pourrais pas pêter tout court".

Entrée fracassante de John à bord de Talyn : TANDAMMMM... Alors que Crais le regarde tout en s'écriant "Crichton", John part dans un délire de paroles : " Je sais, mes excuses. J'aurai dû appeler mais j'étais dans le coin et je suis passé te dire bonjour. Comment va ?" ===> Ton ironique. Il prend la situation très au sérieux mais donne un ton particulier à la scène avec une éloquence sans faille, la tragédie faisant place à l'humour. C'est une attitude qu'il utilisera souvent à l'avenir... caratéristique humaine qu'il développe dans cet univers.

Et lorsque Crais lui affirme qu'il fait du mal à Talyn, il rétorque : "le culot, tu connais ?" avant de lui avouer qu'il veut sa tête sur un plateau !". Rien que ca ! !

A partir de ce moment, John utilisera la peur pour faire faillir Crais ===> retournement de situation, toute la première saison est basée sur la fuite et la traque de John et ici, l'arroseur devient l'arrosé. D'ailleurs lorsque Aeryn rejoint Talyn et Crais, John menace de le traquer s'il lui arrive malheur. Crais souligne alors "Vous, me traquer ? La boucle est bouclée".

Mais Crais veut toujours plus de pouvoir et ... Talyn. John lui dit : "Tu fais la crise de la quarantaine ? Ok, plaque ton job, pars à Hawaii et tapes-toi un top-model mais pas question que tu gardes la Porsche ! !"

Retour de John sur Moya depuis ses adieux : Chiana n'en croit pas ses yeux et émet des doutes en le menacant d'une arme. L'humour de John avec "Tu veux voir mes cicatrices ?" provoquera chez elle un saut spéctaculaire dans ses bras.

Puis se sera un "salut peau-bleu" à une Zhaan en pleine méditation, suivi d'une séance de réanimation pour Rygel qui fait une crise d'asthme causée par l'émotion de revoir ses amis.

Lorque Talyn tire sur Moya et fait tout exploser, John demande : "Vous connaissez les fusibles ?"

Image de fin : petit calin avec Aeryn et une constatation s'impose, ils ont beaucoup changé depuis un an ! ! !

drdsee

P.S. Episode très attendu et à la hauteur des espérances. Difficile de dire à quoi joue Aeryn avec Crais et Crais avec Scorpuis tellememnt les rebondissements sont multiples. Beaucoup d'humour, en partie grâce au clown John, et d'émotions avec les retrouvailles de la "famille". Le mot de la fin en dit long sur le chemin parcouru... et sur les infinis possibilités du futur...