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1.20 - LE VOLEUR DE MÉMOIRE
Vision d'une Crais-o-maniaque
627 juillet 2003
par Crais_Addict
Alors que l'interrogatoire de Crichton continue, Crais a de plus en plus de mal à assurer sa position.
Encore une fois, il perd patience et commence à s'en prendre à Stark avant de menacer Crichton, une fois de plus. Faut bien qu'il se défoule un peu ! En tout cas, c'est ce que pense Scorpius qui observe froidement ses débordements.
Mais que cherche-t-il au juste ? Pour se venger, il suffit de laisser Crichton entre les mains de Scorpius. Souhaite-t-il vraiment le tuer de ses propres mains comme il le lui a promis ? On sait que les pacificateurs sont du genre barbare mais alors d'où vient toute cette sentimentalité quand il s'agit de son frère ?
Scorpius ne nous donnera pas l'occasion de le découvrir. Gilina ayant joué avec les circuits de la chaise aurolaire, de faux souvenirs sont extraits de la mémoire de Crichton... souvenirs d'un pacte avec Crais.
C'est un Crais à la fois paniqué et fou-furieux qui se jette sur Crichton pour lui faire avouer la tromperie. Pour Scorpius, l'affaire est simple : Crais pourra se disculper sur la chaise aurolaire ; le fait "qu'aucun capitaine n'ait subi un tel affront" (dixit Crais) [1] ne le fera pas flêchir.
[2]Ligoté sur la chaise, c'est dans des hurlements de douleur à faire frémir Terminator en personne [3]que Crais livrera à Scorpius une autre ficelle pour le faire danser.
Pendant ce temps, Aeryn est venu libérer Crichton. Avant de partir, elle ouvrira son coeur à Crais... et lui fera connaître le grand frisson de la chaise à pleine puissance. On est comme ça chez les pacificateurs : le coeur débordant... de haine.
Crais_Addict
[1] NDLR : on a déjà mal pour luiP.S.
Retrouvé juste à temps par les sbires de Scorpius, Crais mettra-t-il ses menaces à exécution ? Ce n'est pas la première fois qu'il jure de se venger. On commence à avoir un peu de mal à le croire [4].
[2] NDLR : comment rester insensible ?
[3] NDLR : n'étant pas Terminator, imaginez mes frémissements !
[4] NDLR : mais en même temps, on commence à se sentir l'âme d'une infirmière